Mise en chantier de la troisième phase du Carré du Pacifique

HABITATION. Le Carré du Pacifique, un projet de développement domiciliaire enclavé entre la rue Racine et la route 104 à Farnham, entre dans sa troisième phase de réalisation.

Le ministère de l’Environnement a donné le feu vert aux promoteurs à l’automne 2017 avec l’émission d’un dernier certificat d’autorisation.

Les travaux d’infrastructures ont débuté en décembre dernier et devaient être complétés avant les Fêtes de Noël et du Nouvel An, mais la température est venue mêler les cartes.

«Il nous reste une dizaine de jours de travail pour la mise en place des conduites d’égouts et d’aqueduc. La pose des bordures de béton et le pavage des rues suivront au printemps», signale Richard Naud, président d’Allaire et Gince.

Le coût des infrastructures de la phase 3 est évalué à 1,4 M$.

Une première unité

La troisième phase de ce projet regroupe 38 lots de 5 000 à 7 000 pi2. Dix d’entre eux ont déjà trouvé preneur et quatre autres acheteurs potentiels se sont par ailleurs manifestés.

Les promoteurs, Roland Gingras, Denis Riel et Roger Labonté, prévoient y construire 20 triplex d’une valeur de 420 000 $ à 450 000 $ l’unité (taxes incluses) et 18 semi-détachés d’une valeur unitaire de 185 000 $ et plus sur un terrain acheté de la Caisse d’entraide économique en 1985. La réalisation des travaux a été confiée à Constructions Rénovation Joncas.

«Le solage d’un premier semi-détaché a déjà été coulé et les travaux commencent dans les prochains jours. La livraison de cette unité est prévue pour mai prochain. Neuf triplex devront par ailleurs être livrés pour le mois d’octobre et on s’attend à vendre les autres terrains réservés aux triplex d’ici la fin de 2019. Il existe une forte demande à Farnham pour les immeubles de trois logements», indique Serge Joncas, de Constructions Rénovation Joncas.

Selon Roland Gingras, l’un des trois actionnaires, les triplex de la troisième phase du Carré du Pacifique s’adressent avant tout à une clientèle d’investisseurs alors que les semi-détachés sont plutôt destinés à des jeunes familles à la recherche d’une première propriété.