Une autre saison estivale qui prend fin au camp de jour de Bedford

MUNICIPAL. La fin du camp de jour de la Ville de Bedford annonce le retour imminent des enfants sur les bancs d’école.

Pas moins de 140 jeunes de quatre à douze ans ont pris part aux activités du camp de jour de cette localité du 28 juin au 13 août. Si la majorité des participants habitaient l’une ou l’autre des huit municipalités du pôle géographique de Bedford, quelques-uns provenaient par ailleurs de Sainte-Sabine et de Saint-Sébastien.

«Nous avons pu accueillir une trentaine d’enfants de plus qu’en 2019. En temps normal, notre clientèle s’élève à 160 participants», signale Sophie Anne Lévesque, coordonnatrice du service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire à la Ville de Bedford.

Cette année, les responsables du camp de jour de Bedford n’ont pas été en mesure de recruter du personnel spécialisé pour s’occuper des enfants aux prises avec des besoins spéciaux. Cette clientèle a donc été référée au camp de jour de la Fondation Garagona.

Nouvelle équipe

Plusieurs nouvelles figures se sont jointes à l’équipe de moniteurs et d’assistants-moniteurs pour la saison estivale 2021.

«Depuis trois, quatre ou cinq ans, notre groupe d’employés était pour ainsi dire demeuré le même. Cette année, plusieurs anciens nous ont quittés en raison de leur âge et des autres opportunités d’emploi qui s’offraient à eux», explique Mme Lévesque.

La plupart des activités ont eu lieu à l’école primaire Premier Envol. Les jeunes ont ainsi pu profiter du nouveau gymnase et de la surface de dek hockey de cet établissement scolaire.

«Il y avait des travaux de réfection importants dans les deux autres écoles. On n’a donc pas été en mesure d’utiliser Mgr-Desranleau cette année», signale la coordonnatrice.

Les enfants ont également fait des randonnées en kayak à la presqu’île Jean-Dunnigan et des sorties vélo dans les différentes municipalités du pôle de Bedford tout en bénéficiant d’ateliers d’initiation au jardinage sur les terrains du centre communautaire du ROC des Rivières.

«Ça a été beaucoup plus simple cette année pour les sorties extérieures, car il nous a été possible d’utiliser les autobus à leur pleine capacité. Les moniteurs ont continué à porter le masque pendant les trajets, mais les jeunes en ont été exemptés», précise Mme Lévesque.