Ange-Gardien décroche une subvention de 874 000 $ pour la réfection du rang Casimir

INFRASTRUCTURES. La Municipalité d’Ange-Gardien pourra aller de l’avant avec son projet de réfection du rang Casimir grâce à une aide financière de Québec.Le gouvernement provincial lui accorde une subvention de 873 926 $ pour le remplacement de deux ponceaux et pour la réalisation de travaux de pulvérisation et de pavage sur le rang Casimir dans le cadre du Programme d’aide à la voirie locale (PAVL) – volet Accélération. Cette somme équivaut à 50 % du coût total des travaux.

«L’octroi de cette aide financière nous a été confirmé récemment par le bureau du ministre des Transports, François Bonnardel», signale la directrice générale de la Municipalité, Brigitte Vachon.

Les fonds avancés par Ange-Gardien pour financer la contribution gouvernementale lui seront remboursés sur une période de dix ans.

«La Municipalité dispose d’une réserve pour la réalisation de ce projet et n’aura donc à contracter d’emprunt pour le paiement de l’autre moitié de la facture», précise Mme Vachon.

La préparation des plans et devis préliminaires pour la réfection du rang Casimir, sur une distance de 2,6 km, a été confiée à la firme Tetra tech, de Granby.

«La Municipalité prévoit aller en appel d’offres au début du mois d’avril et réaliser les travaux en 2022», ajoute la directrice générale.

Bilan des réalisations

L’administration Pinsonneault a largement profité des divers programmes d’aide gouvernementale au cours des dernières années pour mettre à niveau son réseau routier en milieu rural.

La réfection du rang Séraphine en 2019 (2,5 M$), d’une partie du rang Saint-Charles en 2020 (323 000 $), du rang Rosalie en 2021 (370 000 $) et du rang Saint-Georges la même année (2,3 M$) comptent parmi ses principales réalisations.

«En incluant le projet de 1,7 M$ pour la réfection du rang Casimir, les investissements dans le réseau routier rural totalisent 7,3 M$ sur une période de quatre ans. Une bonne partie des coûts – près de 4,2 M$ – a été financée au moyen de subventions», résume Mme Vachon.