Cinq étudiantes d’ici s’illustrent au concours d’écriture de l’AMOPA

LITTÉRATURE. Cinq élèves des écoles secondaires Jean-Jacques-Bertrand et Massey-Vanier se sont démarquées lors d’un concours d’écriture organisé par la division québécoise de l’Association des membres de l’Ordre des palmes académiques (AMOPA).

AMOPA-Québec a reçu près de 500 textes, dont une vingtaine de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs (CSVDC), pour le concours d’écriture Défense et illustration de la langue française. Cette compétition amicale annuelle réunit les meilleures plumes du primaire, du secondaire et du cégep dans trois catégories distinctes.

Clémentine Troncy, de l’école Jean-Jacques-Bertrand, a remporté le premier prix de la section AMOPA-Québec dans la catégorie Jeune poésie, avec un texte intitulé «Seule, isolée, esseulée et délaissée».

Doroteea Capitanu, de l’école de la Haute-Ville, a par ailleurs gagné le premier prix de la catégorie Maupassant de la Jeune nouvelle avec une œuvre ayant pour titre «Le carnaval». Swane Monpou, de l’école Massey-Vanier eu droit au deuxième prix avec sa nouvelle «Le soir d’Halloween»

Volet international

Deux étudiantes de Val-des-Cerfs se sont également signalées au concours AMOPA-France qui réunit des participants de toute la Francophonie.

Maria Garz, de l’école Massey-Vanier, a raflé le grand prix Maupassant de la Jeune nouvelle avec un texte intitulé «Mystère et queue de poisson».

Florence Francis, de l’école Jean-Jacques-Bertrand, a par ailleurs remporté le deuxième prix d’Expression écrite de la langue française avec sa description de la Sagrada Família. Son œuvre avait pour titre «Divin, rien de moins».

La CSVDC a tenu à hommage à ces élèves émérites, mercredi à Granby, à quelques heures du début des grandes vacances estivales. À cette occasion, chacune des cinq gagnantes a eu l’opportunité de lire son texte devant public, en plus de se voir remettre un certificat honorifique.

«Val-des-Cerfs est très fière de ses élèves, mais aussi de ses enseignants qui offrent à leurs écrivains en herbe l’occasion de prendre part à un concours qui nourrit le sentiment d’accomplissement et d’estime de soi que nous souhaitons offrir à nos jeunes»., indique Catherine Mongeon, conseillère pédagogique en français au secondaire à la CSVDC.