Les bâtiments à l’abandon, une véritable passion pour Jarold Dumouchel

CULTURE. Alors que certains artistes photographes privilégient les portraits, les paysages ou les natures mortes, Jarold Dumouchel, de Sainte-Brigide-d’Iberville, s’intéresse de façon toute particulière à la rouille et à la poussière qui tapissent les bâtiments publics abandonnés.

Les vestiges industriels, carcéraux, religieux, culturels ou miniers figurent parmi ses thèmes de prédilection depuis plus d’une décennie. Des reliques souvent mal aimées que l’on retrouve aussi bien au coin de la rue que dans les productions cinématographiques hollywoodiennes à grands budgets.

Avec la présentation de Urbex Playground, l’exposition, Dumouchel invite les amateurs de photographie à redécouvrir des pans de notre histoire à travers ces édifices d’une autre époque (églises, hôpitaux, usines, prisons, mines, hippodromes, salles de spectacles) qui ont connu leurs heures de gloire avant de tomber dans l’oubli.

Le vernissage de Urbex Playground, l’exposition a lieu ce vendredi (3 mai), dès 18h, à l’espace galerie du Photo Café Montréal, à l’intersection des rues Rachel et de Lorimier, à Montréal. Les œuvres de Jarold Dumouchel garderont ensuite l’affiche jusqu’au 31 mai au même endroit.

Plus d’information sur le cheminement artistique du photographe au www.jarolddumouchel.com .